Le dossier > La ville au quotidien – La sécurité au quotidien
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Pour répondre à des missions de prévention et de surveillance du bon ordre, de tranquillité, de sécurité et de salubrité publiques, la Ville de Brive emploie 22 agents de la police municipale (PM) et 11 agents de surveillance de la voie publique (ASVP).
Police de proximité
Au-delà de faits notables, comme les interpellations, en 2014, de l’un des auteurs présumés d’un vol aggravé au préjudice d’un bijoutier, d’un auteur d’atteintes sexuelles sur une mineure et de trafiquants présumés d’animaux protégés, la police municipale a, notamment, collecté l’an passé 58 mains courantes, reçu 3 345 appels téléphoniques, dressé 1 214 procès-verbaux, et relevé par procédures écrites 548 infractions (dont 64 pour atteintes aux personnes et 65 pour atteintes aux biens).
L’une des missions principales des agents concerne ce que l’on appelle la police de proximité, à savoir : surveillance sur la voie publique (portée, VTT, pédestre, parfois avec chiens), présence aux entrées et sorties des établissements scolaires, prévention routière en milieu scolaire, présence à l’intérieur des bus, passages pour l’opération tranquillité vacances, service d’ordre et manifestations diverses, assistance voirie, accueil de stagiaires de milieu scolaire ou professionnel. Pas moins de 24 575 heures ont été consacrées en 2014 à la police de proximité.
L’année 2014 fut également celle de l’entrée en action d’un arrêté anti-mendicité pour lutter contre les sollicitations agressives, et celle de la mise en place d’une brigade de nuit, qui assure la sécurité des Brivistes et la lutte contre les nuisances, notamment sonores, du jeudi 7h au dimanche 7h, 24 heures sur 24.
530 000 euros reversés par l’État
Concernant le stationnement sous horodateur, 12 731 timbres-amendes ont été rédigés en 2014 par les ASVP, sur un total de 13 034 timbres-amendes émis.
La part amendes reversée par l’État, une recette pour la collectivité donc, s’est élevée à 530 000 euros l’an dernier. Celle-ci n’est pas calculée en fonction des amendes émises par telle ou telle collectivité, mais en prenant pour base de calcul l’ensemble des timbres-amendes du département. Le
versement se fait ensuite aux communes, au prorata du nombre d’habitants. Cette recette doit obligatoirement être utilisée pour l’entretien de la voirie ou l’aménagement de dispositif de sécurité routière. Sur la période 2006 à 2013, le nombre de contraventions au stationnement payant a été multiplié par 3. Sur la même période, le nombre de places de stationnement payant a été divisé par 2.
De la vidéoprotection dès 2016
L’année 2016 devrait être celle de la mise en place de caméras de vidéoprotection. Des caméras sont déjà en place aux parkings souterrains et sous barrière. Leur utilisation, par les agents en charge des parkings, consiste essentiellement à vérifier le bon fonctionnement des barrières, l’aspect sécurité n’étant pas la finalité de ces installations.
A contrario, la vingtaine de caméras installée prochainement dans la ville sera destinée à la sécurité des personnes et des biens. Elle sera gérée par un centre de supervision urbain, qui sera mis en place sur la même période que l’installation des caméras. En outre, les policiers municipaux devraient, dès 2016, être équipés de pistolets à impulsion électrique.
La sécurité au quotidien
1 300 000 euros
Coût global toutes dépenses confondues
et comprenant notamment :
13- Favoriser les actions de médiation (luttecontre les incivilités : tags, bruit, nuisances…) | ||
Création en 2014 d’une brigade de nuit, qui fonctionne 24h/24 du jeudi 7h au dimanche 7h |
110 000 euros |
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Entrée en action en 2014 d’arrêtés municipaux anti-mendicité et anti-bruit | ||
Équipements pour les policiers municipaux (gilets pare-balles,matraques télescopiques, bombes lacrymogènes, entretien des cycles et véhicules, tenues pour les agents) |
36 000 euros |
14- Installer des caméras de vidéoprotection sur l’espace public | ||
Des parkings sont déjà sous vidéoprotection : les souterrains Guierle et Thiers, et les parkings sous barrières Zola, 15-Août,Guierle, Churchill, plus l’aire de stationnement des camping-cars aux Trois Provinces. Ils sont gérés par le service voirie et non par la police municipale | ||
Mise en place en 2016 d’une vingtaine de caméras de vidéo protection et d’un centre de supervision urbain avec 9 agents de la Ville. Estimation 600 000 euros (hors subventions de l’État) |
15- Développer la présence de la police municipale sur le terrain | ||
19 313 heures de surveillance portée, VTT ou pédestre (parfois avec chiens) sur voie publique |
425 000 euros |
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737 heures de présence aux entrées et sorties d’établissements scolaires |
15 000 euros |
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13 034 timbres-amendes émis en 2014, dont 12 731 de stationnement |
530 000 euros
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