Le dossier > La ville solidaire – L’action sociale
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Solidarité. Le CCAS soutient les Brivistes confrontés à des difficultés multiples.
L’action sociale dépend, comme l’aide aux personnes âgées, du CCAS. Ce service du Centre communal d’action sociale est là pour tous les Brivistes qui, à un moment donné, dans leur vie, peuvent rencontrer des difficultés financières ou sociales.
Ils peuvent y être écoutés, entendus, accompagnés et bénéficier, le cas échéant, d’aides ponctuelles de la part du Centre communal ; ils peuvent aussi, par l’intermédiaire des travailleurs sociaux, être aiguillés dans leurs démarches vers des organismes nationaux pour solliciter des aides légales.
Écouter et accompagner
Au niveau du CCAS, cela peut se traduire par des aides financières directes pour résoudre un problème de facture ou de loyer, de manière très ponctuelle. Il existe également une aide à la mutuelle pour permettre aux plus démunis d’accéder à un bon remboursement des soins de santé. La même démarche existe avec le « Pass’sport » pour favoriser l’accès aux sports des plus modestes et avec les cartes bus pour faciliter les déplacements des personnes qui sont en insertion professionnelle, en fonction de leurs ressources. Il y a aussi des secours d’urgence qui peuvent être délivrés pour ceux qui n’ont plus rien, même pas de quoi se nourrir, et qui sont dénués de toute ressource.
Chaque cas est unique
Toutes les demandes d’aide sont de toute façon accompagnées par un travailleur social qui, au cas par cas, va reprendre toute la situation et examiner les meilleures solutions à apporter au problème.
Prise en charge ponctuelle, examen de la dette, autorisation d’accès à l’épicerie sociale, échelonnement des paiements… Cet accompagnement global est systématique et le suivi de la personne se fait jusqu’à ce qu’elle s’en sorte.
Des publics spécifiques
Par ailleurs, au-delà de ce travail social à destination des Brivistes, le CCAS a mis en place des outils pour venir en aide à des publics spécifiques qui ne sont pas de Brive et notamment toute une politique de logement et d’hébergement pour les jeunes travailleurs, étudiants, apprentis ou stagiaires, arrivant sur la ville et ne disposant pas de logement, afin de les mener à l’autonomie.
Le service « Habitat jeunes » dispose pour cela de 63 chambres pour les 1625 ans à la résidence Bassaler et de deux animateurs dédiés.
Réinsertion
Enfin, le CCAS a mis en place un service de médiation de rue qui, comme son nom l’indique, est là pour suivre les personnes qui vivent dans la rue. Deux médiateurs y travaillent, en partenariat avec les associations caritatives et sociales.
Un Centre d’hébergement et de réinsertion sociale complète le dispositif. Le CHRS Patier dispose de quatre travailleurs sociaux et de 23 places, au travers d’appartements répartis sur la ville, pour accueillir et accompagner des personnes en situation d’exclusion et qui ont comme but leur réinsertion socioprofessionnelle.
Action sociale
1 600 000 euros
Coût global toutes dépenses confondues
et comprenant notamment :
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34- Faciliter l’accès aux aides sociales (accompagnement administratif pour dossiers RSA, CMU…) |
654 000 euros |
| Accueil, information, orientation, accompagnement du public : 24 225 passages aux accueils du CCAS |
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35- Développer l’aide alimentaire (épicerie sociale et solidaire, chèques services…) |
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| Épicerie sociale et solidaire : 567 personnes aidées sur plusieurs mois |  |
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| Chèques services : 250 personnes aidées ponctuellement |
12 500 euros |
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36- Aider à la mobilité (carte bus) | |
| Cartes bus : 2 483 bénéficiaires |
45 000 euros |
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37- Favoriser l’aide au logement (aides financières) | |
| Aides financières totales distribuées (loyers, énergie, assurances, etc.) |
25 000 euros |